Contenu

Recherche par lecteur : Jean d' Ormesson

1645 résultats. Page 83 sur 83.

Durée : 11h. 33min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 951
Résumé:Outre l'irréductible échéance liée à la mort, outre les multiples et indicibles souffrances, n'est-il pas donné à tous de choisir son destin ? Certes la vie est tragique mais elle doit avoir un sens. Un sens, peut-être des sens, mais seuls quelques-uns aux vertus salvatrices s'offrent aux hommes pour les affranchir de leur condition. La Révolution, au nom d'une foi en la fraternité, est une arme tournée contre la misère, celle qui enchaîne l'homme parce qu'elle le prive de sa dignité. Vaincre l'humiliation en leur nom propre ou pour les autres par le biais de la Révolution, voici le combat que se sont choisis les héros de La Condition humaine. Pour échapper à l'angoisse de "n'être qu'un homme", l'amour est un autre de ces moyens, mais seul l'amour véritable et fusionnel qu'éprouvent Kyo et May l'un pour l'autre est susceptible de briser la profonde solitude des êtres. Misérable humanité, humanité héroïque et grandiose, c'est "la condition humaine"... Elle résonnera à jamais comme un écho au fond de soi, tant il est vrai que ce roman est "d'une intelligence admirable et, malgré cela, profondément enfoncé dans la vie, engagé, et pantelant d'une angoisse parfois insoutenable", comme l'avait écrit Gide.
Lu par : Jean de Rham
Durée : 9h. 46min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 878
Résumé:Chasse à l'homme, barrages de police, grouillement des « indics », contrôle des « garnis », filatures, interrogatoires, écoutes téléphoniques : tels sont les ingrédients de Flic Story, la première histoire policière vraie écrite par un policier et portée à l'écran par Alain Delon. D'un côté : Roger Borniche, trente ans, recordman des arrestations de truands, un flic pas comme les autres auquel les gangsters écrivent pour le remercier de son humanité. Signe particulier : ne porte jamais d'arme. De l'autre : Emile Buisson, l'insaisissable tueur aux yeux noirs, quarante-sept ans, cent hold-up, vingt meurtres. Caractéristique : n'hésite pas à exécuter ses complices pour qu'ils ne le dénoncent pas à la police. Entre les deux : un fantastique duel dont les six manches tiendront le lecteur en haleine mieux que le plus fort des romans policiers.
Lu par : Jean de Rham
Durée : 4h. 14min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 716
Résumé:Récit dans lequel l'auteur évoque la figure de son père, chef de cabinet de Pierre Laval. Il en fait un homme étonnant et drôle, pessimiste et séducteur, gastronome, grand seigneur avec ostentation, entouré d'amis illustres: Giraudoux, Larbaud, Morand, Berl, Robert Aron, etc.
Lu par : Pierre Monneron
Durée : 8h. 33min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 647
Résumé:L'auteur d' "Au plaisir de Dieu" fait un bilan plein d'humour et de malice de sa propre vie, de sa réussite éclatante, qui le surprend lui-même. Il invoque d'abord la mémoire de son père, ambassadeur de France, dont il trace un admirable portrait. Qui est ce «vagabond» qui passe, sinon Jean lui-même? Quand dit-il la vérité ? Quand rêve-t-il ? La jeune Irlandaise Lady Ann a-t-elle existé ? A-t-elle connu avec Lord Fitzgerald, colonel aux Gardes, un amour tragique ? Leur histoire est si-belle que nous ne cherchons pas à démêler la fiction de la réalité.
Lu par : Jean de Rham
Durée : 16h. 41min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 605
Résumé:Il nous donne une biographie complète, entièrement revue et, mêlant étroitement l'existence et l'œuvre, il nous montre leurs points de jonction. Il a dit dans une interview : " Combien d'hommes illustres ont des vies qui ne sont pas à la taille de leurs œuvres ! Devant ces destins honnêtes, le biographe se découvre des envies de romancier. Il complète, il interprète, il invente... Il pense plus à son art qu'à la vérité, à lui-même qu'à son héros. Il ne sert pas un grand homme, il s'en sert. Mais, envers Dostoïevski, c'est par timidité qu'on pécherait plus facilement que par audace. Son histoire est tellement riche en désespoirs démesurés, en joies miraculeuses, qu'on serait tenté non de la " romancer " mais de l'éteindre. Il semble que cet écrivain de génie ait organisé son existence dans le style des romans, qu'il ait fait de son existence le plus passionnant de ses romans. " Et c'est ce roman que Henri Troyat nous raconte avec un sens humain bouleversant. Jamais modèle n'a trouvé peintre plus respectueux, plus sensible, plus digne aussi de rendre sa grandeur, d'évoquer son drame intérieur, ses détresses, mais aussi ses forces prodigieuses. On suit Dostoïevski dans les difficultés d'une vie souvent misérable, en prison, devant le peloton d'exécution, au bagne, en exil, dans les élans de ses passions. Touche après touche, minutieusement et pourtant avec ampleur, le portrait se compose, grandit jusqu'à devenir une fresque de l'époque, une évocation hallucinante de violence et de vérité.